mardi 24 novembre 2009

On délocalise, on ferme, on licencie, on reclasse, on propose des formations qualifiantes, même parfois on vous demande si vous ne voulez pas déménager pour la suivre l'usine, dans ses pérégrinations à l'aveuglette. Mais pour l'essentiel les cocus restent sur le carreau, brulent quelques palettes, saccagent un peu, que ça en fait de la peine de les voir, ridiculisés, aller jusqu'au bout de leur propre suicide. alors qu'honnêtement on a rien fait que de leur suggérer qu'il n'y avait plus que ça à faire. Se flinguer. Mais comment faire disparaître ce qui n'existe plus, sans qu'on y ait pris garde. Le classe ouvrière, comme classe sociale a fournit son effort en s'éfaçant au profit de l'image polie des partis politiques et des leaders syndicaux qui portaient sa voix. Lui reste tout de même une solution, individuelle certes mais qui vaut tout de même, pour l'édification des masses. Les masses, elles, contrairement à ce nous voulons bien croire n'ont pas disparues, elles se sont travesties, bigarrures des coutumes, des traditions importées par cargos, tribal attitudes, régionalisme des clichés : Ah, tu vis en région ? Je te croyais provincial.

vendredi 20 novembre 2009

Quand la bureaucratie assassine

"Le 15 septembre 2009, 8 h 55, moi, Catherine Kokoszka, directrice départementale de la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) de Paris, enfermée que j'étais dans le travail comme en huis clos, me jette par la fenêtre de la direction départementale, du troisième étage sur cour."

Ainsi commence le témoignage de Catherine Kokoszka, qui se considère elle même comme une miraculée. Elle est tombée de trois étages, sur un buisson. Elle n'est donc pas morte. Elle peut donc témoigner. De ce qui pour moi est l'évidence d'une bureaucratie complexe, couteuse, et folle.Si vous voulez avoir un espoir de comprendre objectivement la situation de cette femme, allez lire l'article du Monde qui vous expliquera qu'elle s'est trouvé face à des politiques administratives contradictoires.

Suite sur le Journal de fanette.

mercredi 18 novembre 2009

Il ne faut jamais dire que l'on n'a rien... que l'on attend. Il faut toujours être très demandé, désiré, entre mille activités... jamais plaintif. Pff.

Test

Dans une période de doutes, votre esprit est confu et vous vous posez pleins de questions: Est-ce le bon? Doit-on arrêter là? Encore une chance ou pas?

Venez donc voir si vous êtes le genre à baisser les bras, à vous battre jusqu’au bout ou attendre que monsieur prenne la décision finale.

test

vendredi 13 novembre 2009

46 000 euros de facture !!!!!

Le type s'est pris une facture de 46 000 euros !!!!!

mercredi 4 novembre 2009

Etrange.

Affronter ses démons les rend plus facile à supporter.

En l'occurence, mon démon est une démone, et plus le temps passe, plus elle me semble petite.

Je dois absolument continuer de la connaître, la voir, parler, échanger avec elle.